La loi Hoguet est dans l’univers immobilier sacrée. Sauf qu’aujourd’hui, elle accuse son âge et est menacée de toutes parts.
Quand on prononce son nom, qui est celui de son inspirateur, on se signe. Et si quelqu’un vient à la profaner, on la brandit telle un crucifix. Une preuve récente ? La reconnaissance obtenue par la FNAIM dans la loi Élan des titres d’agent immobilier et d’administrateur de biens, et la tentative de ce même syndicat, désormais soutenu par le SNPI, d’associer aux titres un symbole – la VESTA – et d’obtenir l’onction publique. Bref, on ne touche pas à la loi Hoguet.